La fibromyalgie est une maladie qui reste encore un casse-tête pour les professionnels de la santé qui travaillent dans le domaine. Si les causes ne sont pas encore connues de manière précise, des pistes d’explication commencent à se mettre en place. D’une manière générale, la maladie sur manifeste par des douleurs chroniques dans les fibres musculaires.
Elle peut aussi entrainer une raideur et des problèmes de sommeil. De plus, elle se trouve fortement amplifier lorsque le patient atteint vie des émotions intenses et négatives. Pour ne pas arranger les choses, les efforts physiques et la fatigue se trouvent aussi parmi les facteurs aggravants. Face à l’absence de traitement allant en profondeur, les chercheurs et les thérapeutes se sont tournés petit à petit vers des solutions alternatives. L’association fibromyalgie-CBD s’est trouvée fortement fortifier dans la quête des traitements symptomatiques.
La relation fibromyalgie-CBD
Pour comprendre cette orientation thérapeutique, il est essentiel de comprendre les pistes d’explication de la maladie. Comme il est dit précédemment, la maladie se caractérise par des douleurs musculaires. Elle est renforcée par des facteurs physiologiques et psychologiques. De nombreux individus touchés par cette pathologie ont aussi rapporté un lien avec la dépression, l’anxiété, trouble du sommeil et baisse de concentration. Selon les spécialistes dans le domaine, les douleurs seraient dues à une amplification des messages reçus par les nefs. De ce fait, le patient à l’impression de vivre un calvaire sans pouvoir réellement trouver des solutions.
Cette amplification serait due à un dysfonctionnement dans le système cannabinoïde endogène, plus précisément au niveau des récepteurs CB1 et CB2. C’est de là donc que part l’intuition d’aller associer le CBD et les douleurs neuropathies.
Le CBD comme antidouleur possède déjà une notoriété qui n’est plus à faire dans le monde la médecine. D’où l’initiative de l’utiliser comme un traitement des manifestations de la fibromyalgie. En effet, dans les études qui ont eu lieu durant la dernière décennie, trois d’entre elles se sont focalisées soit sur l’utilisation de la CBD ou du cannabis thérapeutique. Dans le cas de la CBD, les sujets qui ont été testés rapportent à hauteur de 61.9% qu’il agit de manière conséquente sur les symptômes de douleurs et qu’une amélioration des conditions de vie est notée. Cette amélioration est surtout due à la descente du niveau de stress et de la sensation de bien-être.
De plus, il améliore aussi le sommeil de ces sujets. D’une manière plus objective, une mesure de la douleur a été entreprise sur des patients qui prennent du CBD comme antidouleur. Une baisse de quatre points a été notée par ces derniers, et ce à raison de 81%. Le cannabis thérapeutique quant à lui laisse perplexes les chercheurs, car l’effet de THC est à interpréter avec prudence.
Quel CBD pour fibromyalgie ?
L’histoire entre le CBD et les douleurs neuropathiques en générale repose sur une base solide. En effet, il influence grandement la sensibilisation centrale au niveau de cerveau, sujet qui est principalement touché dans les cas de fibromyalgie. La sensibilisation centra étant constituée par les récepteurs CB1 et CB2, les cannabinoïdes présents dans le cannabis peuvent avoir un effet sur ces derniers. Si l’on simplifie la question, le CBD peut inhiber les cellules dans le système nerveux central nommé Glia. C’est sur cette modulation que jouent les effets liés à la cannabidiol.
Pour que le CBD ait un effet notable sur les patients, il faut donc miser sur des substances présentant une forte concentration. L’huile de CBD s’impose donc comme la solution la plus adéquate. De plus, elle permet des prises par différentes voies. En effet, on peut le prendre par voie orale et sublinguale, mais en plus elle peut avoir des effets par des voies cutanées.
Vous pouvez appliquer l’huile de CBD sur votre peau. Il faut faire attention à deux choses. L’une étant normalement la présence de THC dans le liquide. Vous devez vérifier sur l’étiquette une concentration inférieure à 0.2%. La posologie est la deuxième chose à prendre en compte. Elle peut varier en fonction de l’intensité de la douleur, de la réponse de l’organisme à la molécule et du rejet que peut faire le corps. Il est préférable de démarrer avec de faibles doses et de les faire monter progressivement.